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La classe média à Radio Campus Paris

Deux années de suite que les élèves de la classe média du lycée créent une émission radio diffusée en FM. Vous pouvez les écouter sur le site de Radio Campus, en entrant dans le moteur de recherche « aubrac » ; les émissions des deux années s’y trouvent.
RADIO CAMPUS PARIS est fondée en 1998 par trois étudiants de l’École des Mines avec pour volonté de créer un nouveau média alternatif pour tous les étudiants franciliens. En 2003, la radio installe ses studios à la Maison des Initiatives Étudiantes, dans le 3e arrondissement. Radio Campus Paris émet 24h/24 en streaming sur Internet et diffuse depuis 2004 sur la 93.9 FM en Ile-de-France et depuis 2014 utilise la technologie de la radio terrestre pour Paris et sa banlieue proche. Aussi elle fait partie du réseau Radio Campus France. Cette année, le stage était animé par Camille MASSON, Pascal GREGIS, Mahaut DE LATAILLADE et Mélissande BRY dans le cadre des ateliers d’initiation aux pratiques radiophoniques.
Après deux jours de préparation et d’écriture, durant lesquels les élèves ont effectué des initiations à la radio (micro-trottoir) ainsi que des atelier sur les métiers de la radio, les lycéens et lycéennes travaillent en groupe. La radio, c’est d’abord de l’écrit.

Des élèves de seconde 9 en octobre 2024 


L’an dernier, les élèves de seconde 3 avaient crée des émissions autour des émotions : la peur, la joie, la tristesse, l’angoisse…
Cette année, les élèves de seconde 9 du lycée Lucie Aubrac ont imaginé des émissions autour de quatre thématiques principales : la maison, dehors, la ville, l’espace.
Le dernier jour, enregistrement de l’émission avec des élèves aux manettes du studio. Samir en studio

 

Des élèves heureux ! (classe de 2nde3 en octobre 2023)

Sortie en forêt de Fontainebleau

Le mardi 28/05/2024, notre classe (la 2nde8) est partie en sortie à la forêt de Fontainebleau. Celle-ci est située à une heure au sud de Paris.

 

Cette forêt est une resserve naturelle préservée par les peintres du XIX siècle, elle est d’ailleurs 1ère réserve naturelle en France (appelée artistique) car les peintre préféraient peindre dans un milieu naturel. A cette époque, de nombreuses fontaines ont été installées, elles servaient de buvette et de distraction pour les personnes visitant les lieux. Il est très déconseillé de boire leur eau car elle est trop riche en minéraux !

 

Les roches de la forêt ont servi à construire les pavés de Paris et le Château de Versailles. De nos jours, la Forêt de Fontainebleau est un parfait endroit pour faire de la randonnée ou de l’escalade.

 

Pour notre sortie, nous y sommes allés en transport public (RER et train). Pendant le trajet, nous nous sommes répartis en groupe de 2-3 personnes et la professeure nous a confié une trousse pour chaque groupe, contenant du matériel pour observer (loupes), pour mesurer des paramètres physico-chimiques et des outils comme des pelles.

 

 

  • La geologie

 

Durant la sortie à Fontainebleau, nous avons pu observer de nombreux phénomènes géologiques et biologiques. L’un des aspects les plus remarquables de la forêt sont ses formations rocheuses dont le grès, une roche sédimentaire, qui est formée de grains de sable cimenté par de la silice. Le grès de Fontainebleau est quartzeux (composé de quartz), sa forme non consolidée est généralement sous forme de sable. De plus nous avons appris que ce sable est le résultat de l’érosion des grès.

 

 

  • La forêt et les observations

 

La forêt de Fontainebleau, « avec ses 22 000 hectares de nature préservée est un écosystème d’exception unique au monde. Fontainebleau abrite une variété d’animaux que l’on ne trouve pas en région parisienne comme les chevreuils, les blaireau européens, sangliers sauvages et bien plus! Dans la forêt, on dénombre plus de 5 600 espèces végétales (1 350 plantes à fleurs, 460 mousses, 2 700 champignons, 675 lichens, 500 algues), dont plusieurs espèces protégées mais aussi une importante faune sauvage (6 600 espèces animales dont 60 mammifères, 200 oiseaux, 5 600 insectes). La forêt de Fontainebleau présente de plus, une grande variété de types d’arbres : chênes 42 %, pins sylvestres 29 %, hêtres 17 %… »

 

Pendant cette sortie nous avons eu l’opportunité d’en être témoins. Grâce au matériel fourni par les professeurs tels que les loupes, piluliers (pour le prélèvement ), ou encore les applications que nous avons installées ( merlinbird, plantnet ) et les clés de détermination, nous avons donc pu observer une partie de la biocénose qui compose la forêt : des petits animaux ( araignées, cloportes, limaces,… ) aux oiseaux ( corbeaux,… ) qui passaient par là. Mais nous avons pu aussi constater de nos propres moyens la variété des arbres et plantes présents là-bas ( chênes, châtaigniers,… ).

Nous avons également mesuré les paramètres physico-chimiques de deux écosystèmes afin de les comparer.

 

  • Un moment à l’extérieur du lycée !

 

Cette sortie a été rythmée par des activités ludiques où nous avons pu manipuler et analyser, avec l’aide de nombreux outils, l’environnement et les roches, ce qui était l’objectif de notre sortie. Nous avons également joué à plusieurs sortes de jeux… Cette journée nous a ainsi permis de nous décrocher de nos écran. Pour terminer la journée, la professeure avait organisé une série d’énigmes qui nous a permis de revoir tout ce que nous avions appris durant la journée.

 

Par ailleurs, nous avons, tout au long de la sortie, fait une randonnée qui nous permettait de découvrir la forêt et de faire un peu de sport. On a fait un pique nique. Cela nous changeait d’une journée de cours à rester assis toute la journée ou encore d’une sortie traditionnelle en intérieur par exemple.

 

Ikebana à la Maison de la Culture du Japon

Ne cherche pas le muguet encore; entre deux valves de feuilles allongées en coquilles de moules, mystérieusement s’arrondissent ses perles d’un orient vert, d’où coulera l’odeur souveraine…

Colette, Les Vrilles de la vigne, « dernier feu »

Le classe de 1ère 4 a participé ce jeudi 16 mai 2024 à un atelier d’ikebana offert par la Maison de la Culture du Japon.

Le nom de cet art floral peut se traduire par « fleurs vivantes »: il s’agit, selon des règles très précises, d’agencer divers éléments floraux, feuillages, afin de les mettre en valeur. L’esthétique de l’ikebana privilégie le vide, le creux, là où l’art floral occidental se tourne plutôt vers la profusion.Une occasion idéale pour la classe, qui étudie l’oeuvre poétique et surtout bucolique de Colette, de partager son rapport très sensuel à la nature en manipulant des oeillets, du faux bambou, et en créant leur propre composition. 

 

 

Voyage des latinistes de 1ère à Marseille

Dans le cadre du projet collaboratif avec le Musée Mémorial du Terrorisme, les latinistes de 1ère sont partis deux jours à Marseille.

Ce voyage avait tout d’abord pour but de s’imprégner d’un lieu de mémoire majeur, le camp des Milles, près d’Aix. Cet ancien camp d’internement de la deuxième guerre mondiale a accueilli un grand nombre d’artistes réfugiés de l’Allemagne nazie et considérés comme suspect au début de la guerre.

PREMIO LITERARIO / PRIX LITTÉRAIRE

Estamos orgullos@s de compartir con tod@s vosotr@s la inmensa alegría que supone el haber ganado el Premio al Mejor Desenlace del Concurso de Cuentos Fantásticos organizado por la ACADEMIE de VERSAILLES.

L@s alumn@s de 1ère. de la Spécialité de Langues, Littératures et Cultures Etrangères en Espagnol han trabajado este año entorno al cuento fantástico y como Cervantes del siglo XXI se han puesto a escribir algunos. El resultado ha sido este premio.

Aquí os dejamos con una lectura que esperamos os deleite.

Nous sommes fiers de partager avec vous l’immense joie d’avoir remporté le prix du « meilleur dénouement » au concours du conte fantastique organisé par l’académie de Versailles.

Les élèves de 1ère de la spécialité de langues, Littératures et Cultures Etrangères en Espagnol ont travaillé cette année autour du conte fantastique, et comme des Cervantes du 21 éme siècle se sont mis à écrire des contes… Voici le résultat.. !

Un mundo demasiado perfecto

Eran las 5:20 de la tarde. El instituto estaba sumergido en la oscuridad y en el silencio. Una sola luz seguía encendida. La luz del aula de español. Había dos chicas que habían sido castigadas por la profesora de literatura española y que se vieron obligadas a quedarse una hora más en el instituto para hacer tareas de limpieza. Mientras la morena pasaba la escoba, la rubia limpiaba la pizarra, todo ello en un silencio embarazoso para las dos. Se odiaban y no se dirigían la palabra.

De repente, borrando el final de la pizarra, ésta se puso gelatinosa y el brazo de la rubia cruzó el muro blanco. Del asombro, la rubia retiró su brazo y miró a su compañera. La morena no se había dado cuenta de nada. Como no se hablaban y para ahorrarse saliva, decidió mostrarle como el brazo cruzaba la pizarra. La morena se asustó y se acercó para ver lo que ocurría. Queriendo saber lo que había del otro lado, quiso pasar el muro pero la rubia le dijo que en las películas siempre era una mala idea. Su compañera, acusándola de agua fiestas, pasó un pie. La rubia no queriendo pasar por ser una miedosa hizo lo mismo. Finalmente, se jugaron el todo por el todo y cruzaron la pizarra con miedo y angustia, pero la cruzaron.

Una vez del otro lado, todo era más o menos igual ; era de día y no de noche. No encontraban una razón para explicar lo que había sucedido, todo era demasiado raro. Decidieron echar un vistazo. Este lugar era distinto y al mismo tiempo familiar del que acababan de salir. En este lugar, la gente estaba en verano y no en invierno. Arriesgándose un poco más, se adentraron en la ciudad. Las dos chicas sentían que la atmósfera traía malas vibraciones. Algo extraño estaba por ocurrir pero las muchachas no sabían que. Todas las personas estaban alegres aquí, no era así en París. Las gentes eran amables, saludaban a todos, proponían su ayuda a cualquiera, no eran egoístas. Cuanto más se adentraban en las calles, más tenían la sensación de que algo no andaba bien.

La morena quería seguir paseándose mientras que la rubia quería regresar, como no quería quedarse sola, no tuvo otra opción que continuar al lado de la morena decidida. El miedo y la tensión se ampliaban a cada paso que daban. De un minuto al otro, la oscuridad de la noche había cubierto la ciudad bajo una espesa niebla. Un viento helado se elevó creando escalofríos y las dos muchachas se dieron cuenta que ya no quedaba nadie en la calle, las persianas de las casas estaban bajadas, las puertas cerradas, la luz de los faroles se había apagado. El pánico se había apoderado del cuerpo de las dos alumnas.

Pensando que era hora de volver y creyendo que estaban atrasadas sacaron sus relojes para ver la hora, pero éstos se habían detenido a las 6:00 de la tarde. Entonces, tomaron sus teléfonos para poder llamar a alguien que las viniera a ayudar pero, por mala suerte, el móvil no se encendía.

Algo detrás de ellas se había movido llamando su atención, pero no había nada, solo un gato saliendo de una basura. Tratando de recordar el camino que habían tomado para venir, tomaron las últimas calles por las que habían pasado. Fue en vano, todas las calles se parecían y el miedo no las dejaba pensar. Teniendo el sentimiento de que alguien las seguía, la rubia se dio la vuelta, pero seguía sin haber nadie.

Se detuvieron escuchando unos pasos, pero lo único que encontraron fueron las huellas de los pies de unos niños en la tierra. Se asustaron y empezaron a caminar más rápido. Una rama hizo que tropezaran y levantándose cayeron cara a cara frente a dos niños.

Era un niño y una niña, seguramente dos hermanos visto el parecido. Debían de tener cinco años, por su altura y sus caras de bebés. Los dos tenían el pelo de color rubio platino, pero lo que más asustó a las muchachas fue que la niña no tenía ojos, en su lugar había dos huecos negros como la noche. Al contrario, el hermano tenía los ojos blancos como la nieve. Nunca en su vida las chicas gritaron tanto. Se preguntaban en donde habían caído, que lugar era ése tan raro y tan horrible.

Al final de la calle pudieron percibir la entrada al pizarrón. Se levantaron y corrieron como nunca. Los niños como en una película de terror se dieron la vuelta despacio hacia la dirección por la cual se habían escapado las dos muchachas y caminaron lentamente hacia ellas. Las chicas subieron las escaleras que conducían a la pizarra. Subieron y frente a ella intentaron pasar pero no lo lograron. Intentaron una y otra vez pero no sirvió de nada, estaban atrapadas.

Se dieron la vuelta y justo abajo de la escalinata estaban parados los dos niños mirándolas. Subieron una a una las escaleras, el terror se podía notar en la cara de las chicas. Frente a los niños, las dos adolescentes se miraron.

Sabía la morena, sabía la rubia y sabían los dos hermanos lo que iba a suceder justo después. Los pequeños se acercaron a ellas e introdujeron sus manos dentro del pecho de la rubia y de la morena hasta sentir el corazón acelerado que todavía latía.

Al día siguiente, cuando la profesora entró en el aula de literatura española se detuvo frente a la pizarra. En ese muro blanco, vio las caras petrificadas del miedo de las dos chicas representadas en el lugar en donde había empezado su desgracia.

Elsa Langlois y Manuela Rostain
1ère. LLCER-Espagnol
Lycée Lucie Aubrac
COURBEVOIE

Semaines des Libertés des Secondes AbiBac-Affiches et émission de radio auf Deutsch !

Durch diese Radiosendung erfahrt ihr, wann und wie Frankreich und Deutschland das Wahlrecht bekommen haben. Ihr werdet ihre verschiedenen politischen Organisationen und die Verbindung mit unseren politischen Freiheiten entdecken. Wollt ihr lachen, singen und etwas lernen? Dann hört unsere Radiosendung!

​Es war toll an diesem EMC Projekt mit Frau Rodenbach teilzunehmen. Gleichzeitig haben wir die Welt des Radios entdeckt. Wir haben ein Drehbuch und unsere Dialoge geschrieben. Danach sind wir zur Schulbibliothek im Radiostudio gegangen, um unsere Radiosendung aufzuzeichnen. Dieses Umfeld hat uns sehr gut gefallen. Wir hatten jeweils unsere Kopfhörer, unser Mikrophon und unsere Rolle zu spielen. Es war eine fantastische Erfahrung, die wir in der Zukunft gerne noch einmal erleben würden.

Traduction française:

Dans le cadre du projet d’EMC « les Semaines des Libertés » avec Madame Rodenbach, nous avons enregistré une émission dans la cabine radio du CDI pour les semaines des libertés. A travers cette émission, découvrez quand et comment la France et l’Allemagne ont obtenu le droit de vote. Vous découvrirez aussi leurs différentes organisations politiques et le liens qui unissent leurs libertés politiques. Venez rire, venez chanter, venez apprendre, venez écouter notre chronique radio !     

​​Nous avons adoré participer à ce projet tout en découvrant le monde de la radio. Nous avons créé le dialogue puis nous sommes allées l’enregistrer au CDI dans la cabine d’enregistrement. Ce qui nous a le plus plu dans ce projet c’est l’environnement de travail. Nous avions chacune notre casque, notre micro et notre rôle à jouer. C’était une superbe expérience que nous n’hésiterons pas à revivre.

L’émission de Romane Levrard, Elsa Torresan-Barbaron, Valentine Cochet et Saba Fatemi est à réécouter ici :

 

  • Les autres élèves de la Seconde AbiBac ont réalisé des affiches informatives en allemand sur une forme de liberté:  Die Frauenrechte und die Freiheit, sich zu kleiden, Die Gewalt gegen Frauen: Vergleich in Deutschland und Frankreich,  Die wirtschaftliche Freiheit in den DACH-Ländern, Laizismus und Säkularismus: Vergleich in Frankreich, Deutschland und Österreich, Die Meinungsfreiheit im Fußball.

 

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