Sortie en forêt de Fontainebleau Groupe 2

Le mardi 28 mai 2024, accompagnée de Mme Blanchard et Mr Kney, la classe de 2nde8 est allée en sortie dans la forêt de Fontainebleau. Après un trajet en RER et train intercités, nous sommes arrivés sur le domaine où nous avons commencé notre apprentissage sur la forêt et ses ressources. Dans un premier temps, nous avons appris comment s’était formée la forêt dans le bassin parisien et comment elle avait évolué au cours du temps.

Nous avons ensuite continué notre marche vers un point plus culminant de la forêt d’où nous avons pu observer la ville et travaillé sur la biodiversité.

 

  • L’histoire géologique

 

D’une part, nous avons appris beaucoup sur l’histoire géologique du lieu.Nous avons regardé à l’aide d’une loupe du sable et les roches et avons compris que le sable venait du grès lorsqu’il subit une érosion.

25 millions d’années auparavant, du sable s’est déposé au niveau de mers peu profondes, ( plage et dunes..) formant ensuite la couverture calcaire de la nappe phréatique. Cette couverture est traversée par un fleuve, qui suite à un phénomène d’érosion, s’écoule en surface. A l’endroit de ces infiltrations d’eau, le sable s’est alors cristallisé et consolidé grâce à la silice, formant le Grès.Ainsi, Fontainebleau se situe sur une couche de sédiments basse. C’est de là que viennent les roches de Grès quartzeux ( qui sont donc des roches sédimentaires). Ces dernières s’érodent avec le vent et la pluie, et les petits grains se déposent alors plus bas sur le sol et forment le sable de la forêt : c’est le sable de Fontainebleau.

Par ailleurs, lors de la sortie, nous avons appris l’histoire culturelle de la forêt.

 

 

  • L’histoire récente de la forêt

 

La forêt de Fontainebleau, située dans le bassin parisien en Île-de-France, a été le cadre d’années de la vie de plusieurs rois, du XIIème au XIXème siècle. La forêt, de 25 000 hectares, a longtemps été un lieu de chasse pour les rois et leur cour, ainsi qu’un lieu de détente, notamment grâce à ses fontaines à but récréatif (grâce aux guinguettes, elles attiraient aussi les gens pour danser et s’amuser). Elle a été  transformée, agrandie et embellie par François Ier. La forêt a aussi inspiré de nombreux peintres impressionnistes, tels Millet, Corot, Sisley ou encore Rousseau : ils ont permis la création des premières réserves de préservation de la biodiversité. Elle est aujourd’hui inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1981 et renommée à l’international pour ses sites d’escalade.

 

  • L’étude de la biodiversité

 

Afin de comparer les différents biotopes de la forêt, nous avons réalisé des expériences qui nous ont permis de déterminer les différentes caractéristiques des biotopes. Nous avons comparé les mesures du pH, la température, la luminosité et l’humidité du sol et de l’eau d’une mare et de l’écosystème forestier. Nous avons ainsi pu constater des différences entre ces biotopes telles qu’une température plus haute dans le sol. Cela nous a permis de différencier les deux biotopes et d’analyser les caractéristiques qui leur sont propres et permettent aux écosystèmes d’y vivre. Nous avons également observé une grande biodiversité de plantes et d’arbres tels que des fougères, des chênes, des bouleaux… De plus, nous avons pu étudier la grande diversité d’animaux (araignées, cloporte, oiseaux…) et d’insectes (comme des fourmis) au sein de cette forêt.

 

 

  • Une sortie ludique !

 

 

Nous avons beaucoup marché pour atteindre le point culminant de notre promenade. C’est ici que nous avons pu déjeuner et découvrir l’endroit où nous allions passer l’après-midi.

Durant la sortie, nous avons pu observer et analyser les phénomènes de la foret.  Le repas était libre pendant au moins 1 heure donc nous avons eu le temps de manger tranquillement, de nous promener dans la forêt alentour et de jouer dans la nature en complète déconnexion (ce qui a grandement plu aux professeurs accompagnants !).

 

Pour clôturer la journée, nous avons réalisé des jeux en équipe tel que des puzzles, des mots croisés ou des mots que nous devions relier à des définitions. La résolution de ces petits jeux résultait en des lettres avec lesquelles il fallait former un mot et le donner à la professeure afin de finir, et de remporter une récompense pour ceux ayant fini le plus rapidement possible.

Cela nous a permis de réviser ce que nous avons appris dans la journée sur les écosystèmes de manière ludique.

 

Sortie en forêt de Fontainebleau

Le mardi 28/05/2024, notre classe (la 2nde8) est partie en sortie à la forêt de Fontainebleau. Celle-ci est située à une heure au sud de Paris.

 

Cette forêt est une resserve naturelle préservée par les peintres du XIX siècle, elle est d’ailleurs 1ère réserve naturelle en France (appelée artistique) car les peintre préféraient peindre dans un milieu naturel. A cette époque, de nombreuses fontaines ont été installées, elles servaient de buvette et de distraction pour les personnes visitant les lieux. Il est très déconseillé de boire leur eau car elle est trop riche en minéraux !

 

Les roches de la forêt ont servi à construire les pavés de Paris et le Château de Versailles. De nos jours, la Forêt de Fontainebleau est un parfait endroit pour faire de la randonnée ou de l’escalade.

 

Pour notre sortie, nous y sommes allés en transport public (RER et train). Pendant le trajet, nous nous sommes répartis en groupe de 2-3 personnes et la professeure nous a confié une trousse pour chaque groupe, contenant du matériel pour observer (loupes), pour mesurer des paramètres physico-chimiques et des outils comme des pelles.

 

 

  • La geologie

 

Durant la sortie à Fontainebleau, nous avons pu observer de nombreux phénomènes géologiques et biologiques. L’un des aspects les plus remarquables de la forêt sont ses formations rocheuses dont le grès, une roche sédimentaire, qui est formée de grains de sable cimenté par de la silice. Le grès de Fontainebleau est quartzeux (composé de quartz), sa forme non consolidée est généralement sous forme de sable. De plus nous avons appris que ce sable est le résultat de l’érosion des grès.

 

 

  • La forêt et les observations

 

La forêt de Fontainebleau, « avec ses 22 000 hectares de nature préservée est un écosystème d’exception unique au monde. Fontainebleau abrite une variété d’animaux que l’on ne trouve pas en région parisienne comme les chevreuils, les blaireau européens, sangliers sauvages et bien plus! Dans la forêt, on dénombre plus de 5 600 espèces végétales (1 350 plantes à fleurs, 460 mousses, 2 700 champignons, 675 lichens, 500 algues), dont plusieurs espèces protégées mais aussi une importante faune sauvage (6 600 espèces animales dont 60 mammifères, 200 oiseaux, 5 600 insectes). La forêt de Fontainebleau présente de plus, une grande variété de types d’arbres : chênes 42 %, pins sylvestres 29 %, hêtres 17 %… »

 

Pendant cette sortie nous avons eu l’opportunité d’en être témoins. Grâce au matériel fourni par les professeurs tels que les loupes, piluliers (pour le prélèvement ), ou encore les applications que nous avons installées ( merlinbird, plantnet ) et les clés de détermination, nous avons donc pu observer une partie de la biocénose qui compose la forêt : des petits animaux ( araignées, cloportes, limaces,… ) aux oiseaux ( corbeaux,… ) qui passaient par là. Mais nous avons pu aussi constater de nos propres moyens la variété des arbres et plantes présents là-bas ( chênes, châtaigniers,… ).

Nous avons également mesuré les paramètres physico-chimiques de deux écosystèmes afin de les comparer.

 

  • Un moment à l’extérieur du lycée !

 

Cette sortie a été rythmée par des activités ludiques où nous avons pu manipuler et analyser, avec l’aide de nombreux outils, l’environnement et les roches, ce qui était l’objectif de notre sortie. Nous avons également joué à plusieurs sortes de jeux… Cette journée nous a ainsi permis de nous décrocher de nos écran. Pour terminer la journée, la professeure avait organisé une série d’énigmes qui nous a permis de revoir tout ce que nous avions appris durant la journée.

 

Par ailleurs, nous avons, tout au long de la sortie, fait une randonnée qui nous permettait de découvrir la forêt et de faire un peu de sport. On a fait un pique nique. Cela nous changeait d’une journée de cours à rester assis toute la journée ou encore d’une sortie traditionnelle en intérieur par exemple.

 

Rentrée 2024

 Rentrée des classes 2024 au lycée Lucie Aubrac

 

En raison des Jeux paralympiques et de notre proximité du site de l’ARENA, la préfecture préconise d’utiliser les transports en commun ou les mobilités douces et de restreindre l’amplitude des cours lors de la semaine de rentrée. Ils commenceront donc exceptionnellement au plus tôt à 10h et termineront à 17h15 jusqu’au vendredi 6 septembre.

 

Lundi 2 septembre : rentrée des élèves de seconde

13h15-16h30 : après-midi d’intégration des classes de seconde

 

Mardi 3 septembre : rentrée des élèves de première

13h30-16h30 : après-midi d’intégration des classes de première

Votre enfant doit obligatoirement apporter une photo d’identité ce jour-là.

 

Mercredi 4 septembre : rentrée des élèves de terminale

13h00-16h00 : après-midi d’intégration des classes de terminale

 Votre enfant doit obligatoirement apporter une photo d’identité ce jour-là.

 

Jeudi 5 septembre : début des cours pour toutes les classes selon l’emploi du temps et démarrage de la demi-pension.

Our visit to the « Comptoirs de L’Inde »

Our visit to the « Comptoirs de L’Inde »

Les Comptoirs de l’Inde” is an organisation established in November 1997. It is a Cultural and Documentation Centre about India, located in the 20th district of Paris, which contains more than 3000 books, documents, postcards, photos, stamps and family archives. This organisation presents the French history in India, more precisely the history and culture of the former Comptoirs, without forgetting the richness of Indian regional cultures: Tamil, Telugu, Bengali and Malayalam.  “Les Comptoirs de l’Inde” implements various actions to highlight the cultural influence of India and the former French comptoirs of history and memory. Towards the end of 2023, as part of the nation-wide event Les Enfants du Patrimoine, my class and I visited this organisation.

Exploring India’s history and the impact of French colonialism was a rich and enlightening experience for us all, offering valuable insights of India’s colonial aspects and their enduring effects on Indian society. One particularly illuminating aspect of our visit was the opportunity to hear from guest speaker Douglas, who shared his first hand experiences as an Indian soldier serving under French rule. Douglas’s accounts provided a unique and personal perspective on the challenges and struggles faced by Indian individuals within the context of colonial domination. Through Douglas’s narrative, we gained a deeper understanding of the social, cultural, and political challenges by colonialism. His stories offered a nuanced perspective on the various impacts of the French colonialism. Furthermore, one of our classmates  discovered that Douglas as an Indian soldier, had served alongside her grandfather in the army. He also knew her grandmother as they came from the same village.

As well as exploring the historical aspects of colonialism, our discussion also involved the caste system in Indian society. Learning about the role of castes educated us on the social hierarchy and culture that have shaped India’s identity and community until today. We also talked and thought about caste discrimination and social inequalities, that are still present today. The vivid descriptions of India’s landscapes, cities, and cultural traditions evoked a sense of nostalgia for me and some other Indian students but most importantly this educative experience created  a sense of inspiration and curiosity for others. Overall, this exploration of India’s history and colonial imprint provided a rich learning experience and greater connection to the precious tapestry of India’s cultural heritage.

 

Surya, élève en Te8 Section Internationale anglais britannique

 

Masculin/féminin : une visite au musée du quai Branly

 ‌Bienvenue à toutes et à tous dans un nouvel épisode du journal du lycée ! Aujourd’hui nous allons aborder les différences qu’il y a entre le genre social et le sexe biologique, au travers de mythes issues de quatre continents. A la suite d’une visite dans le musée du quai Branly le 14 novembre 2023 nous avons pris conscience de la différence et partageons nos connaissance.
Tout d’abord nous remercions Marianne, notre guide mais aussi la créatrice de cette exposition de nous avoir présenté 
ses différences culturelles toutes aussi surprenantes que envoutantes les unes des autres.

Premièrement nous allons voyager en Océanie et plus précisément en Papouasie Nouvelle-Guinée, dans le peuple des Sepik qui se base sur un modèle patriarcal matrilinéaire.  Ensuite nous nous dirigerons au Moyen Orient au Yémen, ou les mariages exogames et endogames sont présents. Par la suite nous continuerons notre périple chez les touareg en Afrique, spécialiste dans l’égalité homme-femme et chez les Yoruba ou les femmes luttent contre les violences faite envers les femmes. Pour finir notre aventure culturelle nous irons jusqu’en Alaska chez les Inuites ou le sexe n’est pas définis par la naissance.
Bon voyage à tous !!!

L’exemple de la société des Inuits, en Alaska

Comme l’a dit Edgar Morin, « L’espèce humaine est une, mais elle est une dans un double sens, à la fois séparée et unie par le masculin et le féminin ». Nous allons justement aborder cette question de masculin féminin dont nous avons vu divers exemples chez différentes civilisations anciennes lors d’une sortie au musée du quai Branly.

Il faut savoir que dans la majorité des sociétés, il y a souvent un des deux genres qui domine (il y a tout de même une valorisation du genre masculin dans 98% des cas).

Nous allons ici nous intéresser à la société des inuits d’Alaska.

  • Tout d’abord, qui sont les Inuits ?

Les Inuits sont une civilisation autochtone vivant en Arctique. Le mot « Inuit » signifie d’ailleurs « peuple » en inuktut, qui est la langue parlée par les Inuits.

Il existe différentes civilisations d’Inuits et les inuits dont nous allons parler sont ceux de la région de l’Alaska.

  • Comment définissent-ils le masculin et le féminin dans leur société ?

Cette société est un peu moins définie/ nette sur la question du genre car il existe trois façons de trouver son genre :

  • Dans le premier cas de figure, le sexe se décide à la naissance. Par exemple, si une personne née du sexe masculin, mais que son entourage a besoin ou veut que ce soit une fille, il considère la personne comme telle, donc ici comme une femme. Le sexe biologique est rétabli à l’adolescence.
  • Dans un deuxième cas de figure, certaines personnes peuvent changer de sexe après leur naissance.
  • Et enfin, dans le troisième cas, l’enfant va naitre biologiquement fille ou garçon, mais il va porter socialement l’identité de ses ancêtres décédés. Ce cas de figure est appelé le « troisième genre ». Par exemple, si dans une famille, la grand-mère vient de mourir et qu’un jeune garçon vient de naitre, on va le considérer comme une fem pour qu’il soit en quelque sorte dans la prolongation de sa grand mère. Il s’agit d’une transformation qui est seulement sociétale, c’est-à-dire qu’elle se fait dans leur façon de s’habiller, dans les activités qu’ils font, etc. Leur genre « initial », étant donc leur genre biologique se rétablit à l’adolescence, lors de la puberté et donc des premières règles.

 

 

YORUBA : UNE SOCIETE RESTREINTE

  • Les Yoruba : de quoi s’agit-il ?

Pour commencer, Yoruba est une ethnie située au sud du Nigéria.

Elle est composée d’autant d’hommes que de femmes, dont des femmes devenues hommes. Il s’agit d’une société matriarcale : en effet, les femmes ménopausées, considérées comme des hommes , sont vues en tant que les sorcières protectrices du village.

  • Le mariage chez les Yoruba

Au niveau marital, aucun des mariages entre Yorubas n’est sentimental : tout d’abord, il y a les femmes-maris, vieilles veuves riches, qui épousent des jeunes femmes pauvres afin de les libérer de la tutelle de l’homme. Mais, tous les biens, tels que les enfants ou encore l’argent perçu par l’épouse reviendront à la femme-mari.

  • Les traditions/religions et leurs conséquences

Même si de nombreux Yoruba sont aujourd’hui chrétiens ou musulmans, des aspects de leur religion traditionnelle subsistent. Notamment les péchés contre la chasteté tels que l’homosexualité sont très punis en Afrique, en particulier chez les hommes qui seront considérés comme des « sous-hommes » comme les hommes violents envers leurs épouses. En effet, la violence faite aux femmes est largement plus encadrée qu’en France, par exemple. Ces deux types de comportement seront punis à travers la lapidation, mise à mort en lancant des pierres car considérés comme anormaux.

Papouasie-Nouvelle-Guinée
La Papouasie-Nouvelle-Guinée est un pays qui se situe à l’Est de l’Océanie, dans ce pays la différenciation des genres y est particulière. En effet à la naissance le nouveau-né est associé au genre féminin qu’elle que soit son genre, on ne nait pas homme on ledevient. On dit que le nouveau-né appartient à sa mère jusqu’à la puberté, alors à l’âge de 13 ans, on arrache l’enfant de sa mère afin que celui-ci devienne un homme. Il va passer alors par une série d’épreuve par le sang et par le sperme, le sang est coulé car selon euxl’homme perd son sang volontairement et non la femme. La cérémonie commence par la scarification de l’enfant qui est réalisé en forme d’écaille de crocodile au niveau du dos, on touche presque la totalité de leur peau ; le strict minimum est laissé. Beaucoup d’enfants succombent à cette scarification par la perte de sang, les Papouasiens pensent que les morts ne sont pas des hommes. Lorsque l’épreuve de sang et fini, on passe à celle du sperme.
Les Touaregs
Nous avons ensuite pu observer une selle de dromadaire appartenant aux nomades Touaregs. Les touaregs sont une ethnie berbère, ils vivent dans le Sahara et ses bordures ( Mali, Mauritanie, Niger, Algérie , Libye ). Ils sont nomades à l’origine mais se sédentarisent. Leur société a un tout autre fonctionnement et met la femme au sommet de la hiérarchie sociale. les peuples touaregs sont nomades et vivent dans des tentes. Tout ce qui touche au foyer est de la responsabilité de la femme et  tout ce qui touche au dehors appartient à l’homme. De ce fait la tente et les enfants appartiennent totalement à la femme et les dromadaires appartiennent aux hommes. La femme a donc beaucoup plus de pouvoir dans le mariage que l’homme, en cas de divorce c’est son mari qui quitte la tente, elle a même le droit à un mari d’une nuit si elle le souhaite. Cette organisation sociale vient du mythe de la création des hommes selon les touaregs, une goutte d’eau serait tombée et se serait scindée en deux. La féminité représentée par la goutte qui s’enfonce dans le sable reste immobile associé à la fertilité, tandis que la partie masculine roule, c’est donc ça qui a défini que tous les éléments qui touchent à l’intérieur du foyer relèvent du domaine de la femme  et que ce qui ce passe à l’extérieur  du foyer est du domaine de l’homme. Le pouvoir chez les touaregs est donc réparti plus ou moins équitablement entre homme et femme cependant le rôle homme est réduit par la sédentarisation. Malgré un rôle féminin en totale opposition au système conventionnel, des sujets tels que l’avortement reste tus.

Les 1ère latinistes

Ikebana à la Maison de la Culture du Japon

Ne cherche pas le muguet encore; entre deux valves de feuilles allongées en coquilles de moules, mystérieusement s’arrondissent ses perles d’un orient vert, d’où coulera l’odeur souveraine…

Colette, Les Vrilles de la vigne, « dernier feu »

Le classe de 1ère 4 a participé ce jeudi 16 mai 2024 à un atelier d’ikebana offert par la Maison de la Culture du Japon.

Le nom de cet art floral peut se traduire par « fleurs vivantes »: il s’agit, selon des règles très précises, d’agencer divers éléments floraux, feuillages, afin de les mettre en valeur. L’esthétique de l’ikebana privilégie le vide, le creux, là où l’art floral occidental se tourne plutôt vers la profusion.Une occasion idéale pour la classe, qui étudie l’oeuvre poétique et surtout bucolique de Colette, de partager son rapport très sensuel à la nature en manipulant des oeillets, du faux bambou, et en créant leur propre composition. 

 

 

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