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Imitation is the sincerest form of flattery

According to Oscar Wilde ‘imitation is the sincerest form of flattery’ and the students in 1e British English Section hope that the American director, Tim Burton, will agree if he sees their recent creations.

As part of the Gothic literature synoptic topic studied for the OIB oral exam, the class looked at how Gothic elements have permeated literature, art and architecture at different moments in time. To show that they had fully understood what elements Burton uses to create the Gothic aesthetic for which he is so well-known, the students had to choose a character or person from today’s popular culture and put the character through a process of ‘Burton-isation’.

The characters chosen included Noddy, Alice in Wonderland, Betty Boop, Snow White, the Simpsons and Tweety Pie.

The challenge proved eerie-sistible and the results were completely spook-tacular.

 

Do skunks celebrate Valentine’s day?

Sure, they’re very scent-imental! And so are we…

Cupid’s Kids was created to help build intergenerational connections and reach isolated seniors. For the past few years, the DC Department of Aging and Community Living has teamed up with school students to create thousands of Valentine’s Day cards for the oldest residents of Washington DC. Cards will be delivered to seniors who receive home delivered meals.

This year, the students in the British English International Section in the Lycée Lucie Aubrac contributed over 50 cards and letters. Students in the American Section in the Collège Les Renardières also took part, letting their imagination go wild with all the puns possible for Valentine’s Day messages.

“It is a curious thought, but it is only when you see people looking ridiculous, that you realize just how much you love them.” — Agatha Christie

 

Rencontre exceptionnelle avec des rescapés du génocide des Tutsis

L’association Ibuka est venue à la rencontre des élèves de Terminale STMG, de droit, du MODAC et de première HGGSP avec deux témoignages exceptionnels. Notre projet de Dictionnaire de lutte contre les discours de haine a évidemment été nourri par ces échanges d’une rare richesse. Merci à Damien et à Franck. Nous ne vous oublierons jamais.

Nou

Tous au Panthéon contre la peine de mort

Après une intervention particulièrement émouvante et donnant à réfléchir d’Antoinette Chahine, condamnée à mort politique au Liban et finalement acquittée grâce à la mobilité des associations comme (notre partenaire) et Amnesty International, les élèves de STMG et MODAC ont été conviés à assister à une représentation au Panthéon, dans une aile « privatisée » du magnifique bâtiment que nous avons visité par la suite.

 

Hommage à Samuel Paty

Le lycée a rendu un vibrant hommage unanime à notre collègue Samuel Paty, assassiné lâchement par un terroriste l’an dernier. Une banderole a été déployée, tous les élèves ont regardé un film de quelques minutes rendant hommage et cherchant à faire la vérité sur l’engrenage terrible qui a conduit au drame du 16 octobre. Enfin, des temps d’échanges ont suivi la projection de ce film.

Drive my car – critique de cinéma de la 1ère 9

La classe de 1ère 9 a pu profiter d’une projection du film Drive my car de Ryusuke Hamaguchi au cinéma Abel Gance le jeudi 16 septembre.

Dans le cadre de l’étude du théâtre et de la pièce de Jean-Luc Lagarce Juste la fin du monde, qui pose la question de notre capacité à communiquer les uns avec les autres, et notamment avec nos proches, les élèves ont été invités à se questionner sur les limites du langage dans ce film où un metteur en scène japonais monte une pièce de Tchekhov, Oncle Vania, tout en tentant de surmonter un deuil complexe. Voici les critiques de deux élèves de la classe, dont nous espérons qu’elles vous donneront envie de découvrir ce film:

« Film japonais réalisé en 2021 par Ryusuke Hamaguchi, Drive my car est un film de 3 heures narrant l’histoire de Yusuke Kakufu, acteur et metteur en scène, qui accepte de monter la pièce de théâtre Oncle Vania lors d’un festival à Hiroshima. Il y fait la rencontre de Misaki, une jeune femme qui lui est assignée comme chauffeur.

Malgré un prologue, où on le voit évoluer avec sa femme Oto, à présent décédée, deux ans auparavant, le personnage de Yusuke reste mystérieux. Les différents trajets en compagnie de Misaki permettentdonc de le découvrir plus en profondeur, avec ses remords, sa tristesse et sa rancœur.

Bien que ce long-métrage présente, selon moi une certaine longueur et très peu d’actions, il met en scène, de façon touchante, l’importance de la communication au sein d’une famille. Accompagné par la voix d’Oto, récitant les dialogues d’Oncle Vania, les personnages de Yusuke et de Misaki s’ouvrent sur leur passé tumultueux et les crises qui font rages en eux. La confiance qui s’installe entre ces personnages, qui sont presque des inconnus, donne lieu à des moments magnifiques, comme la scène aux abords de l’ancienne maison de Misaki.

Mais je pense que mon plan préféré restera le plan de la voiture dans la neige, voiture qui pour moi est l’élément principal de ce film et permet de faire le lien entre les différentes périodes de vie des personnages, comme le montre le dernier plan, qui laisse libre cours à de nombreuses interprétations.

Entre les plans de silence total, qui révèlent parfois plus de choses que la parole, et les plans de conflits, individuels ou non, on peut se poser une question. Vaut-il mieux parler quitte à tout perdre, ou bien supporter sans dire un mot ? »

Valentine Cochet

 

 » Pendant 3 heures, Ryusuke Hamaguchi, le réalisateur, nous embarque dans un voyage à bord d’une voiture rouge éclatant au cœur des atermoiements affectifs. Le trajet fait de ligne droite, de virages, de chocs s’apparente au circuit des émotions des personnages.
A force de redoubler de pistes à travers la gémellité des personnages (le metteur en scène et l’acteur + reflets d’Oto) et la superposition des diverses langues, le film est d’une richesse absolue, à la fois limpide et clair dans son geste et complexe dans sa structure.
J’ai plutôt aimé l’évolution de la relation entre le personnage principal et la chauffeuse est vraiment bouleversante.« 

Fadi Kaouk

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