Mois : février 2022

Le journal d’Aubrac : J’ai supprimé les réseaux sociaux de mon téléphone et… tout s’est bien passé !

J’ai supprimé les réseaux sociaux de mon téléphone et… tout s’est bien passé !

Adolescent de la génération X, j’ai pris conscience de la place importante qu’avaient le téléphone et les réseaux sociaux dans ma vie.

Supprimer les réseaux sociaux, je ne l’ai pas fait du jour au lendemain sur un coup de tête. Depuis un an maintenant, je questionne la place des réseaux sociaux. Je ne postais plus rien depuis longtemps mais mon utilisation journalière était la même. En avril 2021, j’ai supprimé les notifications, d’abord des applications “inutiles” puis Instagram, Snapchat, Twitter et Tiktok.Puis il y a un mois, avec ma meilleure amie, on s’est imposées 10 minutes de réseaux par jour, avec un code que l’on avait chacune sur le téléphone de l’autre. S’il y avait quelque chose d’urgent à y faire et qu’on avait déjà atteint la limite, on s’était créé un mot d’urgence pour que l’autre communique le code. Et on n’a jamais eu à l’utiliser d’ailleurs. Enfin, le 28 novembre, je les ai supprimés et… tout s’est bien passé, enfin presque.

Le journal d’Aubrac: Faut-il encadrer ou abolir la prostitution?

Faut-il encadrer ou abolir la prostitution?

Depuis la loi du 13 avril 2016,en France, le client est pénalisé lorsqu’il sollicite, accepte, ou obtient des relations sexuelles en contrepartie d’une rémunération. La sanction est une amende de 1500 euros.Le proxénète, c’est à dire la personne qui aide, assiste, et protège la prostitution d’une personne, ou le gérant d’un lieu qui sert à la prostitution, peuvent être condamnés à des sanctions pénales plus graves, comme l’incarcération. Le but de cette loi est de lutter contre la traite des êtres humains, et accompagner les prostitués vers une porte de sortie. En principe, cette loi vise à aider les prostitués, mais elle les enfonce d’une autre manière. En effet, selon l’association Médecins sans frontières, depuis 2016,

Le journal d’Aubrac: Fast fashion: entre pollution et manque d’éthique, quelles alternatives?

Fast fashion: entre pollution et manque d’éthique, quelles alternatives?

Depuis plusieurs années, la consommation s’est fortement accélérée dans le monde, notamment sous l’influence de la mondialisation. L’industrie de la mode et du textile n’y a donc pas échappé, et comme résultat, elle a aujourd’hui un poids important dans la pollution mondiale. Cette surconsommation de vêtements porte aujourd’hui un nom: la fast fashion. Ensemble, décortiquons cette notion pour tenter d’améliorer l’impact de notre garde-robe sur la planète.

La fast fashion, en français « mode rapide » ou « mode éphémère », désigne la production en masse de vêtements par des producteurs de prêt à porter pour répondre aux tendances actuelles de la mode, souvent à des prix étrangement bas. Ce terme est apparu vers la fin des années 90 avec l’apparition de marques telles que Zara, H&M ou encore Mango. Le mot « fast » décrit bien la situation: chaque année, des marques comme Zara produisent jusqu’à 30 collections par an, au lieu de seulement 3 ou 4 comme c’était encore le cas dans les années 80. Le géant Shein fait lui aussi partie de ces enseignes de fast fashion, avec chaque jour la mise en ligne de plus de 6000 nouveaux vêtements. Vous l’aurez compris, les tendances sont aujourd’hui devenues totalement éphémères: les vêtements ne sont portés que sur une très courte période et sont souvent jetés à une vitesse extrêmement rapide, puisque les consommateurs de fast fashion ne portent leurs vêtements que 4 fois en moyenne, à cause de l’effet de mode. De plus, la production d’une paire de jeans nécessite l’utilisation de près de 7000 litres d’eau, ce qui représente l’équivalent de ce que boit une personne dans le monde occidental en 5 ans.

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